Maligne contre les effets secondaires Comment booster son immunité ? Secret de Druide

Effet de la chimiothérapie sur la formule sanguine

A partir du moment où vous avez de la chimiothérapie, vous serez contrôlés 2 jours avant la séance suivante pour vérifier la formule sanguine car quelque soit le protocole, il peut diminuer cette dernière et donc entrainer une baisse de votre immunité.

Explications  (extrait de l’article de LA LIGUE CONTRE LE CANCER) 

La moelle osseuse produit les cellules sanguines : plaquettes, globules blancs et rouges qui sont ensuite déversés dans le sang. Il s’agit d’un tissu très actif, car le sang est en renouvellement constant. Ces cellules se multipliant rapidement, elles sont très sensibles à la chimiothérapie. Toutes les molécules anti-tumorales peuvent entraîner une diminution transitoire du nombre de cellules sanguines.

Cette diminution est connue. Elle débute habituellement une à deux semaines après la chimiothérapie. Sa durée est variable, mais habituellement de l’ordre d’une semaine.  La baisse des cellules sanguines est souvent de courte durée, et même, si elle est importante, elle est de ce fait sans danger. Il ne faut donc pas s’affoler inutilement parce que les globules sont bas sur une prise de sang. Si ce n’est pas déjà fait, il faut cependant s’assurer que votre centre de traitement a bien eu communication des résultats et qu’il n’y a pas de mesures particulières à prendre.

Les globules blancs les plus sensibles sont les globules blancs neutrophiles. Ils sont nécessaires à la lutte contre l’infection. Une diminution du nombre de neutrophiles s’appelle une neutropénie. Elle survient temporairement dans les semaines qui suivent le traitement. Si une fièvre survient dans une période où les globules blancs sont bas, il faut prévenir votre médecin qui jugera si vous avez besoin ou non d’un traitement antibiotique. Si la fièvre est accompagnée de frissons, il est nécessaire de prévenir votre médecin ou le service de soins dans les meilleurs délais.

La diminution du nombre de globules rouges et de l’hémoglobine (ou anémie) est plus rare. Elle peut survenir à distance du traitement. Cette anémie peut être responsable de pâleur, de fatigue, voire plus rarement de difficultés à respirer ou d’étourdissements. L’anémie nécessite une transfusion de globules rouges si elle est mal supportée. On peut également recevoir de l’E.P.O, qui est l’équivalent pour les globules rouges des facteurs de croissance des neutrophiles.

La diminution du nombre de plaquettes s’appelle une thrombopénie. Les plaquettes sont nécessaires à la coagulation. La thrombopénie peut rarement entraîner des saignements (des gencives, du nez, des petites marques rouges sur la peau…). Elle est plus rare que la neutropénie. Si la thrombopénie est modérée, votre médecin se contente de surveiller le nombre de plaquettes. Parfois, des transfusions de plaquettes peuvent être nécessaires. Les équivalents pour les plaquettes de l’E.P.O ou des facteurs de croissance des neutrophiles ne sont pas encore au point.

Maligne comme un druide !

Alors, pour éviter tout çà , je prends depuis le début de mes traitements des piqures de Viscum Album qui n’est autre que le Gui. Et oui, les druides avaient raison : c’est une plante médicinale extraordinaire. Utilisée par les êtres humains depuis des millénaires.

C’est « un semi-parasite » qui pousse en parfaite symbiose avec l’arbre hôte. C’est la plante la plus riche en ADN de tout le monde végétal. Ce sont les oiseaux, fauvette et grive draine qui assurent la dissémination des graines. La nature est bien faite et il faut savoir s’en servir !

Figurez vous qu’en Allemagne et en Suisse, les médecins l’ont compris depuis bien longtemps et  le prescrivent automatiquement en accompagnement de la chimiothérapie et ce traitement est entièrement pris en charge. Hélas, en France, ce n’est pas le cas. Vous pouvez les commander en pharmacie mais à vos frais : environ 90e par mois mais la santé et la vie n’ont pas de prix ! Surtout que vous verrez que le gui a d’autres vertus dont je vous parlerai dans un autre article plus tard. Si vous me suivez (en vous abonnant gratuitement, vous recevrez un mail d’alerte de mes nouveaux articles).

C‘est Rudolf Steiner qui évoquera pour la première fois en 1920 (oui çà ne date pas d’hier)  l’utilisation du gui comme thérapeutique anticancéreuse.

Parlons d’abord, de notre problème de baisse d’immunité : des études ( en Allemagne et en Suisse de Paul R. Bock et coll) sur 1442 patientes ont montré une action significativement positive du Viscum sur la tolérance du traitement conventionnel : une nette amélioration de la qualité de vie, une amélioration de la fatigue, un effet sur la douleur.

En effet, le viscum album a

  • une action immuno-modulante sur l’activité globale du système immunitaire
  • une stimulation de la moelle osseuse pendant la chimiothérapie et la radiothérapie
  • une action dynamisante sur l’état général et le psychisme par stimulation des récepteurs à la sérotonine, libération de béta-endorphines er réparation des altérations cognitives liées aux traitements du cancer

Il existe autant de viscum album que d’arbres hôte :

  • le pin : viscum album pini
  • le sapin : viscum album abietis
  • le chêne : viscum album quercus
  • le pommier : viscum album mali

C’est ce dernier que mon homéopathe m’a prescrit commençant par 1mg 3 fois par semaine, puis 5mg puis 10mg en injection sous cutanée.

Je ne saurais donc trop vous conseiller de vous faire suivre par un homéopathe pour adapter votre traitement à votre protocole. Le seul effet secondaire que j’ai ressenti est une réaction inflammatoire locale (une rougeur) à l’endroit de la piqure qui disparaît rapidement.

En tout cas, je peux vous dire que mes analyses de sang ont toujours été bonnes (des baisses très faibles) malgré 24 chimios en 18 mois ! Elles n’enlèvent pas complètement la fatigue mais garde une formule sanguine normale et booste l’immunité ce qui n’est pas négligeable !

Encore une fois, si parmi les lecteurs qui ont pris ce remède de druide, je les invite à témoigner.

 

2 commentaires sur « Maligne contre les effets secondaires Comment booster son immunité ? Secret de Druide »

  1. Bonjour,

    Je viens de commencer mes injections de gui suite à cancer de la prostate avec une marge positive détectée après ablation ce qui augmente dangereusement le risque de récidive.
    J’essaye et j’espère réduire ce risque en suivant ce traitement

    Aimé par 1 personne

    1. BonjourJean marc merci pour votre témoignage.
      J espère de tout coeur que cela permettra de prolonger le répit au maximum
      Êtes vous suivi par un médecin pour le dosage des piqûres ?.
      Je ne sais pas si vous avez lu sur mon blog mais je prends également un traitement métabolique en parallèle depuis la fin de mes traitements.
      Je vous souhaite une belle journée.

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